Ceux qui me suivent sur la page Facebook ou encore sur mon compte Instagram le savent, je possède, depuis quelques semaines, une nouvelle machine : la DeWALT DW733.
Cette raboteuse professionnelle vient ainsi compléter mon outillage et me permettra, entre autres, de transformer des planches de bois brut pour en faire… de chouettes projets !
Je l’ai, d’ailleurs et comme les lecteurs les plus assidus l’on vu, déjà utilisée dans la réalisation du décapsuleur “magique” en bois de palette.
Vous voulez tout savoir sur cette machine ? Suivez-le guide ! 🙂
Pour le déballage, et ça devient rituel, j’utilise toujours mon outil multifonction Bessey DMT.
On se demande toujours un peu comment on va retrouver l’outil dans son carton suite au transport, à l’entreposage, etc. Chez DeWALT, en tous cas, c’est bien protégé !
La bête…
Avant d’aller plus loin, quelques indications présentes sur le carton :
- Puissance (absorbée) : 1.800 Watts
- Vitesse à vide : 10.000 tr/min
- Capacité maximale : 318 mm (contre 317 mm sur le site et 315 mm dans le manuel…)
- Profondeur de rabotage max. : 3,2 mm (pour une largeur de planche max. de 140 mm)
- Raccord pour aspiration efficace de la poussière
- Poids : 33,5 kg
Je sors donc la (lourde) machine de son emballage…
… et retire le plastique de protection pour découvrir un outil qui semble, apparemment, de bonne fabrication.
La raboteuse est fournie avec un manuel d’utilisation, mais aussi avec des vues éclatées de TOUTE la machine. J’en déduis donc qu’il doit être possible de commander chaque pièce séparément chez DeWALT : un gage de sérieux, non ?
Petit zoom sur l’étiquette.
Rien de spécial sauf, peut-être, le “Made in Taiwan”… On n’aime pas voir ça, hein ?
Au fait, vous voulez savoir ce que signifie le “Cycle : S6 30% 1/3 min” ?
En cas d’utilisation du moteur pendant 1 minute, il faut le laisser reposer 3 min !
Allez, on continue le déballage.
En dépliant une des deux rallonges de table, on découvre un (autre) carton à l’intérieur de la machine…
… mais aussi un poussoir de sécurité !
C’est marrant, ça, je n’imaginais pas utiliser ce genre d’accessoire (que je trouve plutôt “étroit”) avec une raboteuse.
Autre vue :
Mais revenons au petit carton.
Celui-ci contient ce que DeWALT appelle un “écran de dépoussiérage”.
Il s’agit, simplement, de l’adaptateur d’aspiration des poussières (et son manchon réducteur).
Décemment, ce jaune me plait de plus en plus… 🙂
Mais restons sérieux et passons, maintenant, en revue quelques détails de la machine.
L’interrupteur MARCHE/ARRÊT, classique mais de bonne fabrication :
Le câble électrique est mis à l’intérieur de la machine au moment de la livraison, mais il sera ensuite accroché (ou enroulé) grâce au système de “retenue de câble” intégré à la raboteuse.
Comme ceci :
J’aime quand c’est pensé ! 🙂
Déployons les (belles) rallonges métalliques pour continuer le tour d’horizon.
Petite remarque sur les matériaux utilisés pour le châssis de la machine.
Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les parties noires (comme, ici, le capot supérieur) sont en métal d’apparence robuste.
Idem pour la base, bien entendu.
Sur le dessus, on retrouve une manivelle (ici repliée car en mode “transport”).
Celle-ci sert au réglage de la hauteur de rabotage.
En l’actionnant, on fait tourner une (grosse) vis… enfin, plusieurs, grâce à un ingénieux système d’engrenage sous la machine…
… qui va descendre ou remonter le moteur (et donc les fers) de la raboteuse.
Cette manoeuvre pourra être effectuée précisément grâce à l’échelle de réglage de hauteur de rabotage présente sur la façade de l’outil.
Notez ce dispositif, sans doute spécifique à DeWALT : un levier qui permet de bloquer la tête de la machine.
Ne pas oublier de le relever pour changer la hauteur de rabotage, bien sûr… 😉
Ca me fait penser que j’ai déjà vu/lu des problèmes de changement de hauteur de rabotage en cours d’usinage chez certains concurrents. Ici, le problème est, en tous cas, réglé dès le départ !
De part et d’autre de la raboteuse, on retrouve de (solides) poignées de transport.
Poignées qui sont même extensibles… Manque juste un petit rembourrage en mousse pour être “top confort” ! 😀
Mais la machine peut aussi être portée par sa base, également grâce aux poignées.
Des trous sont pratiqués dans les quatre pieds, dans le but de faciliter la fixation sur un établi.
Remarque : il s’agit d’une raboteuse (trans)portable, dite “de chantier” et, à ce sujet, la marque préconise de la fixer sur une planche en contre-plaqué de 12,5 mm (ou plus) afin d’en faciliter le transport. Pourquoi pas ?
Tant qu’on est encore en train d’inspecter le châssis, je vous montre une petite molette dont on se demande l’utilité…. J’y reviendrai plus tard. 😉
Avant d’utiliser la machine, le mode d’emploi préconise de vérifier le nivellement des rallonges de table.
Comme (je cite) “Les deux rallonges doivent être de niveau avec la table principale”, je sors mon niveau… pour me rendre compte que ce n’est pas terrible !
Le réglage se fait par les écrous que vous pouvez voir aux extrémités du châssis, sous les rallonges en métal gris.
Une clé est fournie avec la machine pour desserrer ces écrous :
Il faut donc desserrer, régler, puis resserrer pour verrouiller le réglage.
Idem de l’autre côté, bien sûr.
Mais je me rends compte qu’il subsiste toujours un petit jour…
Pour cause… la rallonge est plus basse que la table !
Et, pour cela, il n’y a aucun réglage possible..
Vue de l’autre côté, c’est flagrant.
On parle d’un décalage d’1mm…
Bref, je fais au mieux et me dis que, après tout, ça n’a pas beaucoup d’importance puisqu’il s’agit, ici, de rallonges et non de la table principale. Surtout que, et ça peut paraître étonnant, on ne ressent aucune résistance au moment de passer de l’une à l’autre !
Tiens, vous vous demandez quelle longueur font les rallonges ?
Un peu plus de 28 cm chacune.
Ce qui fait un total rallonge + table principale + rallonge de quasi 85 cm !
Pour ceux qui n’ont jamais vu l’intérieur d’une raboteuse, voici, ci-dessous, une photo intéressante.
On peut voir les rouleaux d’entrainement (en noir) qui font avancer la planche (à une vitesse de 8 m/min) et la tête de coupe (en gris) sur laquelle sont fixés les fers.
Je vous ai montré plus haut l’échelle de réglage de hauteur de rabotage, voici une autre vue.
Remarquez que DeWALT propose la double graduation : en pouces et en mm.
Un des trucs cool que possède cette DW733, c’est son dispositif d’échelle d’enlèvement.
Kesako ? Un système tout simple qui permet de savoir combien de mm on va retirer sur notre morceau de bois. Pas mal, non ?!
Cela fonctionne en venant toucher (et pousser, donc) le mesureur d’enlèvement qui se trouve sous la flèche jaune. J’y reviendrai dans un autre article qui montrera plus en détail l’utilisation de la machine.
Pour régler la hauteur de rabotage, on a donc une manivelle sur le dessus de la machine.
Pour info, un tour complet correspond à 1,5 mm de différence.
Et, comme les ingénieurs de chez DeWALT ont pensé beaucoup de choses, on dispose également d’un “réglage fin” car on peut, à tout instant, venir tourner le petit disque jaune et noir pour placer le “0” devant l’indicateur sur la droite.
Si on tourne, ensuite, la manivelle dans le sens des aiguilles d’une montre, on sait qu’on diminue la hauteur de rabotage de – dans ce cas-ci – 1 mm. Ça peut servir !
Je reviens maintenant sur la petite molette grise qui nous intriguait plus haut.
A quoi sert-elle ? Il s’agit d’une butée de profondeur qui permet, en fonction du réglage, de déterminer des hauteurs de rabotage pré-réglées : 0, 6, 9 et 19 mm.
Utile, par exemple pour raboter une série de planches en étant sûr de les avoir toutes, au final, à la même hauteur
On choisit, par exemple, 19 mm, puis on rabote en descendant au fur et à mesure la tête de rabotage jusqu’à la butée.
Remarque : sur la photo ci-dessous, vous pouvez voir que la butée de 19 mm est réglable.
On peut, en effet, la changer (en tournant les boulons/écrous) pour déterminer une autre hauteur de rabotage spécifique. Pratique !
Continuons la visite…
Lorsque viendra le changement de lames, il faudra démonter le cache “porte-outils” qui se trouve au-dessus du moteur. Très simple : une vis à retirer de part et d’autre.
Bon, je ne vais pas faire cette manœuvre maintenant. Elle est, d’ailleurs, très bien expliquée dans le mode d’emploi.
Chose importante à noter : la machine est fournie avec une jauge (dans le petit sachet sur la photo ci-dessous) qui permet de régler précisément la hauteur de la lame au moment du remplacement. En effet, les lames ne sont pas “jetables” car on peut les faire affûter plusieurs fois, avec un maximum de 3 mm par rapport à leur taille normale.
Avant de procéder à un petit essai de cette raboteuse, je vais monter l’adaptateur d’aspiration des poussières. Ah, je ne vous ai pas dit, mais il est, lui aussi, en métal !
On le place à la bonne hauteur…
… puis on le fixe au moyen des 3 vis fournies.
Une vis de chaque côté, et une dessous.
Le manchon réducteur (en plastique, lui) vient simplement se fixer dessus.
Cette sortie d’aspiration, parlons-en.
Sans le manchon, on a une sortie en Ø 100 mm et avec on est en Ø 60 mm…
Bref, rien qui correspond à mes embouts d’aspirateur ! Va falloir investir… ^^
Pour mes essais, je bricole donc une solution temporaire à l’aide… d’un sac en tissus Metabo !
Le test !
Allez, on va pouvoir – enfin – démarrer la machine mais, avant cela, on n’oublie pas les protections : casque anti-bruit Peltor Optime I et lunettes de sécurité 3M. Indispensable !
C’est parti pour un petit test… avec une planche de palette.
Je choisis de commencer par retirer 0,5 mm. Pratique ce mesureur, n’empêche !
J’appuie sur l’interrupteur et j’introduis la planche de bois…
… qui ressort transformée !
On peut constater que cette première passe n’est pas suffisante puisqu’il subsiste des zones non rabotées (des creux, en fait) :
2-3 passages supplémentaires, en diminuant légèrement la hauteur de rabotage grâce à la manivelle, et on obtient quelque chose de nickel.
Ultra doux au toucher, même, c’est assez impressionnant !
Vidéo de démonstration :
Voyez, sur la photo ci-dessous, comment, à l’aide d’une machine de ce type, on passe d’un morceau de bois brut (comme en bas) à une planche (comme au dessus), et ce, en quelques secondes à peine !
Ce n’est pas tout cela mais cet article est déjà assez long et je sens que certains décrochent. 🙂
Il est donc temps de replier et ranger la machine, sur l’étagère, pour une prochaine utilisation.
Quoi, vous vouliez d’autres essais de rabotage ?? Cela fera l’objet d’un prochain article. :-p
En attendant, et pour ceux qui sont déjà convaincus, faîtes attention où vous l’achetez car les prix peuvent varier très fort, la preuve* : EUR 1.029,90 sur Amazon.fr contre EUR 679,68 sur Amazon.de (prix constatés au 05/07/2016)
Allez, à bientôt, pour un prochain article, sur TravaillerLeBois.com !
bonjour,
quand je vois la différence entre ma kity 636 et cette dewalt wahou… déjà ne serait ce que les rouleaux qui entraînent la planche… j’en suis jalouse!
moi, avec ma kity, il me faut pousser comme une folle et il y a donc des accros car ce n’est pas linéaire enfin en faisant des petites passes on s’en sort ! mais fiou ca donne chaud!
bref pour conclure, quelle belle machine…
Salut Aurélie,
C’est, sans aucun doute, une belle machine mais pour l’histoire du “ça avance tout seul”, ça devrait être pareil avec ta Kity.
Il doit y avoir un problème de réglage car ta machine possède également des rouleaux entraineurs. A vérifier…
Merci pour ta visite et ton commentaire,
Alex
Bonjour Alex,
(je n’avais pas vu ta réponse…)
effectivement, j’ai un soucis… lequel je ne sais guère… j’ai démonté et à la main les rouleaux tournent… la courroie est là et elle est impeccable enfin sans doute des années 90/2000. mais elle est nickelle!
donc, je ne comprends pas trop… il me faudrait re démonter, la faire tourner sans le capot de sécurité (ce que je n’aime pas étant dans la sécurité au travail) et voir si ca tourne à vide! si ça se trouve c’est mon embrayage qui déconne mais la courroie est bien tendue donc… et sinon dernière option remettre du kityspeed sur la table…
merci de tes articles et du temps que tu prends pour nous répondre!
bonne soirée
Aurélie
Bonjour,
Il me semblait dans un précédent article que vous aviez investi dans une raboteuse-dégauchisseuse Kity 635. Quelles raisons vous ont pousser à investir sur une raboteuse de chantier (sans dégauchisseuse) ?
J’investigue actuellement pour faire l’acquisition d’une raboteuse-dégauchisseuse et je me demande si l’achat d’une raboteuse de chantier seule ne sera pas insuffisant pour le corroyage.
Sinon pour le reste, belle machine cette petite raboteuse ….
Seb.
Bonjour Sébastien,
Tu ne trompes pas car j’ai bien acquis, en février 2014, une rabot/dégau Kity 635.
Cette machine est super mais :
– il s’agit d’une machine combinée, donc il faut la modifier à chaque changement d’utilisation…
– elle ne permet de raboter/dégauchir que 20cm de largeur maximum;
– son système d’aspiration est très léger;
– les lames sont relativement difficiles à (re)trouver.
Je travaille pas mal avec du bois de récupération, donc une machine plus “4×4” me semblait plus adaptée.
Mais, comme tu le soulignes, pour corroyer correctement, une dégauchisseuse est indispensable !
Bonne recherche, bon choix,
Alex
Merci pour ce retour.
Tu confirmes bien ce que je pensais. Effectivement le problème du combiné c’est qu’à chaque changement d’utilisation, il y a beaucoup de manipulation a effectuer. L’idéal est d’avoir deux machines séparées, mais quand tu ne dispose pas d’énormément de place dans l’atelier, il faut trouver un compromis.
Peut-être le Rabot Degau Dewalt ….. à voir.
Sébastien.
En effet, le rabot/dégau Dewalt est une solution à envisager.. 😉
Je me permets de réagir. Justement, pourquoi ne pas avoir pris la D27300? Dégauchissage de 260 mm. Cette raboteuse DW733 me plait aussi car je travaille du bois de palettes mais si un jour j’ai besoin de dégauchir…burp!
Salut Julien,
D’abord parce que je souhaitais avant-tout une raboteuse “tout-terrain” et facile à ranger.
J’ai déjà une raboteuse-dégauchisseuse Kity 635 pour les travaux plus “propres”.
Ensuite, comme tu as sans doute pu le constater, la D27300 coûte un peu plus du double et ce n’était (vraiment) pas raisonnable. 😉
A+,
Alex
Merci pour ta réponse. Oui en effet, le prix est du simple au double, ce que je peux comprendre. A méditer alors. Merci!
Ton article s’est terminé un peu tôt, il manque une phrase sur les tarifs…
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En attendant, et pour ceux qui sont déjà convaincus, faîtes attention où vous l’achetez car les prix peuvent varier très fort, la preuve :
Allez, à bientôt, pour un prochain article, sur TravaillerLeBois.com !
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Il manque la preuve…
Sinon, hâte de voir la suite du test.
L’inconvénient d’une telle machine est qu’il faut malgré tout une dégau pour faire une face plane, car avec une raboteuse, tu n’a s aucune certitude de la planéité de tes planches, en particulier dans le sens longitudinal…
Bonjour Tony,
Apparemment, les liens texte + image “iframe” d’Amazon ne s’affichent pas chez tout le monde, j’ai donc ajouté les prix dans le texte.
Et tu as tout à fait raison pour la dégauchisseuse. Il faudrait que DeWALT (ou une autre marque !) en sorte une petite dédiée. 😉
Merci pour ta visite et ton commentaire,
Alex
Il y a bien la D27300, mais c’est cher! Et elle fait aussi raboteuse!
Sinon, faut voir côté anglo-saxons, ils ont plus l’habitude de faire ça en 2 machines dédiées!
Des machines dédiées, c’est le TOP ! 😉
Bonsoir,
Triton a une rabot de l’ordre de 400€…. je ne sais plus où j’ai vu un vidéo test mais elle semble aussi robuste que la dewalt!
J’aime bien Triton moi 🙂
Bonne soirée
Aurélie
Salut Aurélie,
Oui, Triton propose un modèle financièrement intéressant.
Sans doute pas aussi “robuste” que la Dewalt, mais certainement valable.
Bons copeaux,
Alex
Bonjour et félicitations pour votre site qui est une vraie mine d’information !
Comme vous je me suis mis à travailler le bois en apprenant sur internet (et principalement Youtube) il y a déjà presque trois ans de cela, et j’ai choisi ma scie sur table en tombant sur votre article sur la Bosch. Le chemin à parcourir reste long mais c’est un plaisir de s’amuser en apprenant 😉
Si vous voulez passer me voir : https://www.youtube.com/channel/UCMZt0vuu8CdkKNXU2KcsmOQ
Salut Roman et merci pour ton commentaire.
Je m’abonne à ta chaîne de suite ! 🙂
Bons copeaux,
Alex
Salut Alex,
Encore une présentation au top, merci pour tout ces détails, c’est toujours un plaisir de faire une visite sur ton site.
J’aurai cependant une question concernant l’achat de cette raboteuse, avais tu d’autres modèles en vue avant de te diriger vers la dewalt? Comme par exemple la makita 2012nb qui apparemment est très bien côté chez les Ricains par rapport justement à la dewalt?
Bonne soirée
Manu
Salut Manu et merci pour ton commentaire.
C’est vrai que j’ai hésité avec sa cousine de chez Makita (je n’ai pas tenu compte du modèle de chez Metabo).
Mais, un peu comme pour la scie sur table que j’ai prise chez Bosch (j’aurais pu prendre la Dewalt), j’ai voulu la plus puissante et stable possible.
Si on regarde les spécificités techniques, on a :
Dewalt vs Makita
1800 W vs 1650 W
10000 tr/min vs 8500 tr/min
317 mm vs 304 mm
33.6 kg vs 28.1 kg
Par contre, le défaut de la Dewalt est qu’elle est bruyante 95 dB (A) à comparer au 75 dB (A) de la Makita…
J’ai donc choisi la Dewalt, mais je suis convaincu que la Makita est également une excellente machine !
Alex
Salut Alex,
Encore une petite question sur la dewalt, est ce que comme sur la makita tu as une butée de côte finale? C’est-à-dire je prends par exemple un chevron qui fait 11,7 cm et je veux le raboté a 10cm. Sur la makita j’ai pu voir que tu règles la butée à 10cm et puis tu rabotes progressivement et une fois arrivé à 10cm tu ne peux plus descendre plus bas car elle est arrivée contre la butée. Peux-tu m’éclairer à ce sujet? Autrement toujours content de la bête?
Merci bonne soirée
Manu
Salut Manu et désolé pour la réponse tardive.
Sur la Dewalt, il existe bien une butée mais celle-ci est limitée.
D’origine, et comme on peut le voir sur cette photo, elle est au maximum de 19mm :
On peut la régler, et donc l’augmenter un peu, mais pas pour des épaisseurs de 10 cm. 😉
A+,
Alex
Salut à tous j ai acheté une raboteuse dewalt dw733 mais pas moyen de trouver les fers corespondent apparament ils ont changer le modèle es ce que qu’ elle qu’ un pourrait m eclairer un peut merci
Le “made in Taiwan”, comme le “made in China” de la scie a onglet bosch, ça fait peur au gens, mais pas toujours à juste titre!!!
Les chinois fabriquent selon les cahiers des charges fournis par leur client. Pour Bosch bleu, j’ai pas de soucis sur le fait que le cahier des charges doit être exigent!!!! Après pour d’autres marques que je ne citerais pas, les cahier des charges sont tout bonnement à mettre à la poubelle…..
Pour faire cours, les chinois peuvent fabriquer de la top qualité (les ordi et téléphone Apple sont fabriqués en chine….) ou des chinoiserie comme tout le monde les connait.
C’est donc pas au chinois qu’il faudrait jeter la pierre, mais à nos marques européennes, qui font fabriquer de la merde pour nous les revendre et faire plein de bénéfices.
Je finirai pas te dire un grand merci pour se blog bien instructif, et qui me donne encore plus envie de me lancer dans la menuiserie amateur!
Merci Richard, pour ton avis que je partage !
A bientôt,
Alex
Article très intéressant comme je les apprécie !!!
Complet avec photos de détails !
Donc merci pour tout le boulot d’une telle présentation !!! !!!