Une perceuse à colonne, c’est certainement un des seuls outils dont je n’aurais jamais pensé avoir ni l’envie, ni un jour le besoin.
D’abord parce que j’ai toujours pensé qu’on pouvait utiliser, à la place, une simple perceuse (éventuellement montée sur un support dédié). Ensuite car c’est une machine qui, a priori, est plus utile pour le travail du métal et donc pas indispensable dans un atelier bois… Mais ça, c’était avant ! 🙂
Une perceuse à colonne, c’est quoi ? C’est une sorte de “grosse” perceuse qui coulisse le long d’un axe perpendiculaire à une surface de travail. Ça sert à quoi ? A réaliser des perçages progressifs, bien à la verticale et avec précision. En effet, la machine étant fixée solidement, on garde les deux mains libres pour travailler que ce soit sur des pièces de bois, de métal, de plastique, etc.
Au cours de mes projets, j’ai souvent pu me rendre compte que ce genre de machine me serait utile, voire nécessaire. Aujourd’hui, j’ai la chance d’avoir la perceuse à colonne Bosch PBD 40 entre les mains.
Voici donc un nouvel article dédié à sa présentation. 🙂
Remarque préliminaire : cette perceuse Bosch venant juste d’arriver dans mon atelier, je n’ai pas encore de recul par rapport à son utilisation. Je vous propose donc un maximum de photos et de détails pour la découvrir et vous faire un premier avis. Le retour d’expérience se fera plutôt lors de prochaines réalisations…
Le carton est assez imposant. Normal, il s’agit de ce qu’on appelle une machine stationnaire et pas d’un petit outil électroportatif…
A l’ouverture, on voit qu’il y aura un peu de montage à faire.
Mais finalement par grand chose, puisque la machine est livrée en (seulement) 2 parties.
Avec, quand même, quelques accessoires que je vous présenterai plus loin.
Le pied (ou embase) est en aluminium et plutôt bien fini.
Avec une surface de travail brossée, sans bavures, et du plus bel effet ! 🙂
La plaque est, par contre, fort légère; cela s’explique par sa conception “creuse”.
Heureusement, d’ailleurs, qu’il est de bonnes dimensions. On parle d’une surface de 33 x 35 cm.
En accessoire, on retrouve une butée parallèle :
Ainsi qu’une pince à serrage rapide :
Celle-ci est, d’ailleurs, particulièrement “lourde”. La partie noire ressemble à de la fonte d’aluminum… Dans tous les cas, ça respire la qualité et la solidité !
La bête…
La Bosch PBD 40 dispose d’un moteur de 710 W qui remplace la transmission à courroie classique utilisée sur les perceuses à colonne traditionnelles.
Deux avantages avec ce système : il n’y a plus de courroie à changer pour régler la vitesse de rotation du mandrin et ce moteur est dit “à constante électronique”, c’est à dire qu’il permet de maintenir un régime régulier en cours de perçage.
Remarquez que ma machine est récente puisqu’elle a été fabriquée en juillet dernier.
Autre vue… avec le câble d’alimentation et le gros ressort de l’ascenseur.
Remarquez la colonne qui est assez imposante : 45 mm de diamètre.
Je me demandais, lors du déballage, à quoi pouvais servir la petite clé à 6 pans fournie…. Je comprends, maintenant, qu’elle permettra de fixer la colonne au pied.
On peut voir que la colonne sera maintenue de deux manières : à l’aide de la vis de serrage, mais aussi grâce au petit détrompeur qui se trouve sur le côté; tout cela pour empêcher la machine de pivoter sur son pied.
Avant de monter un outil, et contrairement à d’autres qui se reconnaîtront peut-être 🙂 , j’ai pris pour habitude de parcourir rapidement le manuel.
Une bonne idée car cela me signale qu’il faut d’abord insérer la pince de serrage AVANT de fixer la colonne sur l’embase..!
La colonne s’insère parfaitement dans le pied, sans aucun jeu.
Et j’utilise la petite clé fournie pour solidariser le tout.
Voici donc la perceuse à colonne Bosch PBD 40 montée et prête à fonctionner !
Mais, avant de la mettre en route, je vous propose un petit tour d’horizon de la machine.
Très peu de commandes, c’est un outil plutôt “technique” mais, vous le verrez, très simple d’utilisation.
Le côté gauche nous indique que la machine dispose d’un laser et affiche également un tableau reprenant les vitesses conseillées par rapport au diamètre du foret de perçage mais aussi de la nature du matériau utilisé : l’acier (steel) ou l’aluminium
On ne parle pas de bois… Quand je vous disais, en introduction, qu’une perceuse à colonne est avant tout destinée au travail du métal ! 😉
Sous le moteur, se trouve le mandrin qui a la particularité d’être métallique et “à serrage automatique”.
Tant qu’on parle de serrage, et toujours du côté gauche, on retrouve 2 leviers de blocage.
Nous verrons, un peu plus loin dans l’article, leur utilisation.
Comme toutes les machines de ce type, la perceuse à colonne Bosch PBD 40 dispose d’un système à crémaillère qui permet, à l’aide du volant, de régler la hauteur de la machine et donc de jouer sur la course de perçage.
je parlais du moteur plus haut, celui-ci propose 2 vitesses. Une première qui offre un couple important (pour diamètres de perçage importants ) et une deuxième qui offre un régime plus élevé (pour petits diamètres de perçage ); comme sur beaucoup de perceuses/visseuses, d’ailleurs.
Le volant. Très sexy, je trouve. 🙂
Celui-ci est recouvert d’un revêtement “softgrip” qui apporte un bon confort d’utilisation.
La pince de serrage (ou “tendeur rapide” comme l’appelle le fabricant) fonctionne avec une poignée qui fait tourner un cylindre de forme légèrement oblongue afin d’appuyer les pattes noires contre la pièce à usiner.
Retour sur le devant de l’outil, auquel je retire délicatement la protection de l’afficheur numérique… C’est toujours un moment un peu “spécial” ! 🙂
La principale commande de la perceuse à colonne se trouve être ce (gros) bouton rouge.
Celui-ci permet d’allumer l’écran (et donc visualiser les paramètres) et de mettre en route le mandrin.
Quand on allume la machine, l’écran s’illumine (ou parle de rétroéclairage, je crois) et affiche la vitesse de rotation du mandrin en cours de fonctionnement (en “rpm”, c’est à dire tr/min).
Ici, “0” puisque la machine est arrêtée ! 😉
Une pression sur le premier bouton permet de “switcher” entre l’affichage du nombre de tours par minute, donc, mais aussi de la profondeur (depth) de perçage, en mm et avec une décimale.
Le deuxième bouton “reset” sert à (re)mettre la hauteur à zéro.
A noter qu’il permet une fonction de tare; un peu comme sur les balances de cuisine. 🙂
Le troisième bouton active ou désactive le laser en croix (visible dans le bas de la photo).
Et le dernier bouton allume ou éteint l’éclairage LED qui est situé sous le corps de la machine.
Un éclairage double LED, pour être précis.
Sur la photo ci-dessous, vous pouvez voir qu’il y a également 2 lasers. Chacun projetant une ligne perpendiculaire à l’autre, ce qui donne, au final, une croix.
Ce qui est assez étonnant, c’est que l’éclairage LED est très puissant (tant mieux) mais qu’il n’affaiblit pas la qualité du laser ! On est dans un environnement de travail optimal, donc.
Passons, maintenant, aux réglages mécaniques.
La plus grosse des deux poignées latérales (celle du bas) permet de déverrouiller le système d’ascenseur. A noter que la machine possède un système de frein qui empêche le bloc moteur de descendre de manière brutale et inattendue.
On monte (ou on descend), donc, le corps de la perceuse à l’aide du volant.
La Bosch PBD 40 est, ici, dans sa position maximale en hauteur.
On parle d’un bon 28 cm entre le mandrin et la surface de travail. Ceci hors foret, bien entendu.
L’autre poignée latérale permet, elle, de déverrouiller le système de butée intégré à la machine.
On peut, ainsi, régler une profondeur maximale de course (et donc de perçage) de manière précise en utilisant l’indicateur digital.
Ici, il indique 50 mm, si je (re)verrouille la poignée de serrage, la machine ne descendra pas plus bas.
On a fait le tour des commandes, on peut maintenant (enfin) allumer la machine.
Le moteur se met en route et le mandrin à tourner… elle fonctionne !! 🙂
En guise de premier essai, je choisi un foret bois de 6 mm.
Pour le fixer, on doit d’abord (dé)visser le mandrin…
… et, après avoir inséré le foret, on reserre le mandrin et on le verrouille en tournant la bague rouge. C’est plutôt simple !
Je place, ensuite, une planche de bois que je fixe fermement à l’aide de la pince.
Mais je commence par une petite vérification…
Je descend légèrement le foret (sans le faire tourner) afin de marquer le bois en son centre.
J’allume ensuite le laser et… ce que je redoutais un peu arriva : ce n’est pas bien centrél ! 🙁
Alors ok, on parle d’un petit décalage d’à peine 1 mm sur un des deux axes, mais c’est d’autant plus regrettable que Bosch n’offre pas la possibilité de de régler ce laser. 🙁
Après ça, vous me direz qu’un laser, ça se dérègle toujours… et vous n’avez pas tord…, mais c’est dommage. Ceci-dit, je ne m’avoue pas vaincu et je trouverai bien, à l’occasion, un moyen d’ajuster ce laser… et ça fera l’objet d’un petit tuto ! 🙂
Passons maintenant au perçage (car, finalement, une perceuse à colonne, ça sert aussi à percer 🙂 ). J’allume donc la machine. La vitesse indiquée est de 600 tr/min.
Je saisis, ensuite, le volant de la main droite et je le tourne vers moi, ce qui a pour effet de faire descendre le foret.
Mon premier trou avec cette machine :
C’est droit, mais ce n’est pas super propre.
La faute à la qualité du foret ? Je pense plutôt que j’ai utilisé une vitesse de perçage bien trop lente…
Ce qui est sûr, par contre, c’est que j’avais bien (trop) serré le morceau de bois avec la pince !
Je retente, donc, un autre perçage à la vitesse maximale :
Et le résultat est sans appel !
Vous remarquez aussi que j’ai moins serré la pièce, cette fois ? 🙂
Je teste, ensuite, dans un tasseau plus épais afin de vérifier que le foret ou le mandrin ne fasse pas des “mouvements bizarres” sur la hauteur.
Et non, c’est très propre.
Passons à plus gros, maintenant, en installant une mèche plate de 16 mm.
Je décide, ici, et sans savoir ce que je dois vraiment choisir, de régler la machine sur une vitesse intermédiaire de 1500 tr/min, à l’aide du bouton noir.
C’est parti…
.. et le résultat est également à la hauteur de ce qu’on peut espérer.
Par contre, je note pour plus tard d’utiliser un martyr (une simple planche de CP ou de MDF) afin d’éviter les éclats SOUS la pièce percée…
J’augmente à présent encore le niveau en choisissant d’usiner un trou de 40 mm avec une fraise à encastrer.
Ah, il y a ici une indication de vitesse, parfait !
Je règle donc la machine à l’aide de la molette appropriée (vraiment très pratique !).
J’ajuste, surtout, les mâchoires de la pince afin de ne pas les entamer avec ma fraise “forstner” plutôt large…
Le perçage commence…
… et le résultat est vraiment impeccable !
Vidéo de démonstration de la perceuse à colonne Bosch PBD 40 réalisée pour l’occasion :
Il y a, dans les accessoires livrés avec la machine, quelque chose dont je n’ai pas encore parlé, c’est la butée parallèle.
Celle-ci se fixe, très facilement, en insérant les petits écrous carrés dans les rainures en T inversé de la plaque de base.
On peut, ainsi, faire coulisser la butée.
Et on la bloque à l’endroit désiré à l’aide des vis papillon.
On peut, de cette manière, maintenir fermement une pièce à usiner contre la butée.
Celle-ci pouvant se placer dans un sens comme dans l’autre, c’est au choix.
Continuons, maintenant, les tests en essayant la butée de profondeur.
Pour cela, j’installe une mèche de 8 mm.
Je viens, ensuite, la positionner contre ma pièce de bois.
Je tare le réglage de profondeur en appuyant sur le bouton de remise à zéro.
Je descends le corps de la machine de 20 mm (à l’aide du volant, bien entendu) et je verrouille la poignée avec la main gauche.
Perçage…
Le résultat :
J’utilise mon pied à coulisse pour vérifier la profondeur.
Et on est bien à (quasi) 20 mm !
En sachant qu’une simple poussière de bois se trouvant dans le fond du trou peut fausser la mesure, hein. 😉
Encore un ou deux tests avant de finir, dont celui de perçage d’une pièce cylindrique.
Car, oui, je n’ai pas parlé de cela, mais la base de cette perceuse à colonne (ainsi que les mâchoires de la pince) possède une rainure en V qui permet de maintenir facilement ce genre de pièce. Pratique !
Le perçage se passe très bien, la pièce ne bouge absolument pas.
Et le trou est parfait :
Petite remarque à propos des pièces très étroites (et pas nécessairement cylindriques) avec lesquelles la rainure pourrait poser problème. Il suffit, dans ce cas-là, de décaler simplement la butée, de travers donc, tout en veillant, bien entendu, à percer au bon endroit.
On est, ici, dans un cas intéressant car je perce une petite languette de bois dur qui est à peine plus large que le foret.
Mais la précision est là, et le résultat est plus que satisfaisant.
Dernier test avant de conclure, j’utilise ici une fraise conique (utilisée généralement pour noyer les têtes de vis après un pré-perçage).
Je choisis, pour cela, une vitesse lente et j’usine délicatement la surface de bois.
On imagine, avec ce système et une fraise ronde, par exemple, pouvoir réaliser des plateaux de jeu sur lesquels des billes pourraient être calées…
Voilà pour les tests, il est temps, maintenant, d’éteindre la machine (notamment pour rédiger cet article 🙂 ).
A propos, je ne vous l’ai pas encore dit, mais le bouton principal de la perceuse Bosch dispose d’une fonction “coup de poing”, c’est à dire d’une possibilité d’arrêt automatique (et rapide) de la machine en cas d’urgence. C’est bien pensé.
Et c’est tout pour aujourd’hui ! 🙂
Pour ceux qui ne lisent pas le texte entre les images (j’en connais ! 🙂 ), je vous propose un petit résumé des caractéristiques de la Bosch PBD 40 :
Puissance : 710 W
Système d’entraînement : électronique (pas de courroie)
Positions de couple : réglage en continu
Régime à vide : 200 – 850 tr/min (1ère vitesse), 600 – 2 500 tr/min (2ème vitesse)
Profondeur de perçage maxi. : 90 mm
Ø de perçage dans l’acier : 13 mm
Ø de perçage dans le bois : 40 mm
Capacité de serrage du mandrin : 1,5 – 13 mm
Mandrin : de précision, en métal
Embase : 330 x 350 mm
Distance entre le centre du mandrin et la colonne : 125 mm
Poids : 11,2 kg
Et mon ressenti global après cette première prise en main :
Ce que j’ai aimé :
- La simplicité de conception et d’utilisation de l’outil.
- La qualité du mandrin et de l’éclairage par LED.
- La fonction de réglage de vitesse avec indicateur digital.
- Les accessoires de fixation pratiques et répondant aux principaux besoins.
Ce que j’ai moins aimé :
- L’impossibilité de pouvoir régler le laser (enfin, directement..).
- La légèreté de l’embase en aluminium, même si la machine est plutôt stable !
Conclusion :
Quand on comprend l’intérêt d’une perceuse à colonne, on commence à se renseigner sur les modèles disponibles sur le marché. On constate généralement, finalement, qu’aucune marque n’en propose dans des budgets raisonnables.
Je précise que je ne tiens pas compte des modèles (très) bas de gamme proposés dans certaines enseignes de bricolage car ceux-ci ont souvent, comme pour les raboteuses/dégauchisseuses, mauvaise presse.
Le fait qu’une grande marque d’outillage (Bosch, en l’occurrence) propose un modèle accessible (on parle de 250 euros sur Amazon.fr !) est donc très intéressant et permet à tout un chacun de pouvoir acquérir une machine relativement compacte, simple et fiable, qui “fait le job”.
Alors je sais qu’on ne parle pas, ici, d’une machine d’une extrême précision destinée à la mécanique industrielle mais il faut admettre que nous avons affaire à un outil qui permet de réaliser les principales opérations de perçage pour les bricoleurs ou menuisiers amateurs que nous sommes.
En sachant aussi que je n’ai pas testé le perçage dans du métal (ça viendra peut-être un jour lors d’un projet bois/métal, par exemple), alors que cette perceuse en est, semble-t-il, capable.
Pour terminer, j’ai envie d’encourager les marques connues (et plus professionnelles, tant qu’à faire) à concevoir et proposer des perceuses à colonne comme celle-ci. J’imagine très bien une gamme de machines de différentes tailles avec des moteurs de puissance plus importante afin d’augmenter les possibilités de ce genre d’outil.
Bref, vous l’avez compris, je suis devenu un adepte des perceuses à colonne et je suis déjà excité à l’idée de pouvoir réaliser des projets avec cette machine. 🙂
On en reparlera donc dans de futurs articles, sur TravaillerLeBois.com !
Un deballage en règle comme d’hab !
Merci 😉
Merci pour ta visite Benoît ! 🙂
Une belle présentation
Merci
Merci pour la visite !
Je viens de voir cette article plus que complet. Et oui encore un de plus, comme d’habitude j’ai envie de dire, mais pour une fois après lecture je vais être obligé de craquer vu que J’ai la même depuis quelques années. Une très bonne machine qui fait très bien le taf de precision qu’on lui demande. Bon elle n’est pas parfaite non plus comme beaucoup d’outil en faite mais si l’on reste dans son domaine j’adore.
Effectivement, c’est une machine qui semble parfaitement répondre aux besoins des bricoleurs ou menuisiers amateurs.
Merci pour ton avis !
Merci pour cette présentation très détaillée !
Avec plaisir Yoann, merci pour ta visite ! 🙂
Super article comme d’habitude 😉
ça donne envie !
Merci beaucoup ! 🙂
Salut
Super ton blog, depuis un an maintenant je lis avec avidité chaque article.
Et la, ca tombe bien parce que j’envisage également d’acquérir cette perceuse à colonne.
J’attends donc avec impatience un article sur l’utilisation concrète de cette machine… car j’ai lu des avis partagés à son sujet…. avis auxquels on ne peut donner guère de crédit puisqu’on ne connait pas le niveau d’exigence de ceux qui les rédigent.
Alors qu’avec toi, c’est différent…. Donc merci de publier vite un article qui me fera peut être sauter le pas.
Cordialement, Nicolas
Bonjour Nicolas,
Comme tu le soulignes, ce qu’on attend de cette machine jouera probablement beaucoup sur le degré de satisfaction.
Pour ma part, et comme indiqué, je pense l’utiliser exclusivement pour le bois…
Mais j’en reparlerai. 😉
Merci pour ton message.
Alex
j’avais hésité à acheter cette perceuse à colonne, et ce qui m’a rebuté c’est la courte distance entre la table et la perceuse. après montage de la mèche, il reste très peu de place pour le bois :-/
j’attends tout de même la mise en situation 😉
Salut Maxime,
Quand on monte la perceuse à son maximum, il y a quasi 28 cm.
C’est à dire qu’il reste de 20 à 25 cm pour le bois, c’est quand même pas mal, non ?
Après il reste la solution de retourner la machine (par rapport à son support) mais ce n’est pas vraiment conseillé.
Merci pour ta visite et ton message,
Alex
Comme disait mon père c’est avec les meilleurs outils qu’on fait les meilleurs projets !
Très bon article, ce matériel m’a très bien servis lors d’un projet perso, je recommande.
Bonne continuation.
Merci Eva ! 🙂
Elle est tentante, cette perceuse à colonne, même si elle représente tout de même un budget.
Pour ma part, cela fait longtemps que je suis convaincu de l’intérêt d’un tel outil, et je lui réserve une place, même dans mon minuscule atelier…
Un inconvénient, c’est qu’elle ne se “désaxe” pas. C’est à dire que tu ne peux pas la tourner sur sa colonne pour percer l’extrémité d’une pièce très haute par exemple.
On attend un premier bilan de son utilisation 😉
Bien joué Alex, en attendant 😉
Bonjour Alex,
J’adore ton blog et c’est un peu lui qui m’a poussé au crime, mon côté geek me fait acheter plein de trucs et surtout ceux que tu recommandes !
Les avis glanés à droite à gauche ne sont pas toujours très fiables, mais tes tests détaillés sont très intéressants, et en plus savent rester au niveau qui est le nôtre, des amateurs plus ou moins avertis mais amateurs quand même.
Je suis tes publications depuis un petit moment et je me suis lancé dans l’aménagement d’un atelier (sur copain des copeaux…) et j’ai commencé quelques modestes réalisations, étant encore il y a peu complètement novice.
J’ai encore quelques achats à faire et je compte bien me mettre aussi au sapin de noël !
Et là je vais encore craquer, je suis fan du bosch bleu mais tant pis pour une fois ça sera vert !
Merci de partager ta passion et d’alimenter la nôtre !
Merci pour ton message qui me fait bien plaisir.
C’est vrai que je peux être un “pousse au crime” mais je sais que ce que je vante/présente donnera satisfaction aux utilisateurs donc je n’ai pas mauvaise conscience… 😉
Bons copeaux !
Alex
Carrément pousse au crime, PBD 40 commandée hier soir !
En plus je suis du genre à me dire “tiens il a l’air sympa cet outil, vais me l’acheter y me servira bien un jour” donc y en faut pas beaucoup pour me corrompre !
Ceci dit jusque là tout a fini par servir, parfois sur des trucs inattendus mais j’étais bien content d’avoir le bon truc sous la main même si je ne savais pas encore pourquoi je l’achetais au moment de le faire !
Au fait ces lasers de travers, t’as trouvé une astuce ?
A bientôt !
Exactement comme moi !
Donc j’imagine que tu dois aussi avoir eu le coup d’avoir acheté un outil et de ne plus le retrouver le jour où tu en as besoin.. ^^
Pour le laser de la perceuse à colonne, j’avais vu un gars qui a démonté la machine et le réglage est possible. Mais pas encore essayé..
Bon amusement avec ta nouvelle machine ! 🙂
Bonjour,
Je découvre ce blog via ce sujet et l’ai lu avec intérêt. Peux-tu fournir un lien (même en anglais) détaillant la manip permettant de régler le laser ?
Salut Julien,
Je n’ai pas trouvé la manip précise, juste quelques photos d’une PBD 40 ouverte où l’on peut voir que les lasers sont sur des “axes” qu’il doit y avoir moyen d’ajuster…
A+,
Alex
Bonjour Alex,
Un outil que je ne me lasse pas d’utiliser. Toujours un vrai plaisir. Super article détaillé, bravo pour le boulot derrière !
Yves
Merci Yves ! 🙂
Bonjour Alex et bravo pour tes essais toujours redoutables de précision.
Je pense me procurer cette perceuse à colonne pour mon petit atelier mais j’ai une contrainte de hauteur pour son rangement.
Pourrais tu me confirme la hauteur hors tout (en mode stockage ).
Merci,
Salut JP,
Pour le pied et la colonne, tu dois compter une hauteur de 65 cm. 😉
Merci pour ton message,
Alex
Bonjour
Un grand merci pour cette magnifique présentation qui m’a convaincu d’acheter cette perceuse colonne
Il faut avouer que le prix de vente sur une journée de 215 € pour le Black Friday sur Amazon ne pouvait que confirmer cette décision
Cordialement … Michel47
Merci michel pour l’info ! Qui est malheureusement arrivée 24h trop tard
Est il possible de monter un étau classique de perceuse colonne sur le socle Bosch ???
Par exemple: http://www.wolfcraft.fr/fr/produits/p/etaux/etaux/s/p/index.html
Merci par avance pour votre réponse
Excellente présentation de la perceuse Bosh PBD 40, très utile de voir comment s’en sortir après le déballage, merci pour cet article.
Merci pour ta visite, Christophe ! 😉
bonjour,
j’ai peut être une piste pour le reglage du laser :
https://www.flickr.com/photos/48565520@N07/sets/72157658284699771/
ca montre pas comment il les repositionne mais c’est par là toujours !
des personnes l’ont fait ?
cordialement
Salut David,
Ce sont ces photos que j’avais vues et, oui, c’est une excellente piste.
A mon avis, c’est LA solution pour régler le laser de la PBD 40 !
Merci pour le lien,
Alex
y’a plus qu’a faire un tuto un poil plus complet 😉 car j’ai du mal à voir comment une simple vis pointeau permettrait de le positionner au petit oignon
cordialement
david
Bonjour,
J’ai fait le réglage. En dévissant la vis pointeau, on peut tourner le laser dans son logement cylindrique et ainsi déplacer une des deux lignes de la croix pour qu’elle corresponde exactement au perçage.
Très bon article mais comme toutes les firmes d’électroportatifs Bosch a entre 10 et 20% de retour pour défectuosité. J’ai acheté la mienne en octobre 2017 ; depuis lors, j’ai dû renvoyer la perceuse au SAV à trois reprises et la quatrième est en cours, pour blocage du foret dans le mandrin. Le SAV est incapable de me dire où est le problème. Bon à savoir tout de même !
Merci Jean-Maurice pour ton retour.
Alex
Très sympa mais j’aimerais avoir une piste de solution : comment débloquer moi-même le mandrin automatique sans avoir à renvoyer la perceuse chez Bosch tous les trois ou quatre mois, au risque de recevoir un commentaire désobligeant en prime.
Je n’ai malheureusement pas les compétences techniques pour te répondre, Jean-Maurice.
Si quelque passe par ici et sait te conseiller… qu’il se manifeste ! 😉
Voilà une réponse honnête. Merci et pour la réponse et pour l’honnêteté !
Avec plaisir et… bonne chance ! 😉
Bonjour,
J’ai testé cette machine hier, j’avais lu quelque part que certains testeurs avaient taclé la visée laser comme incorrecte, à ma grande surprise ce n’est pas du tout le cas pour ma part, pile poil à l’intersection. Peut-être ont-ils depuis renforcer le contrôle en production de ce point négatif. Néanmoins je confirme qu’il est dommage ne pouvoir affiner le réglage en cas de besoin.
Comme je l’ai personnellement réalisé et indiqué en novembre dernier, il est possible de régler la croix laser pour qu’elle corresponde exactement au point de perçage. Il faut démonter le capot, identifier les deux lasers projetant chacun un segment de la croix et tourner au besoin l’un des lasers dans son logement cylindrique pour faire coïncider précisément la croix avec le point de perçage.
Excellent article et revue