Je vous propose aujourd’hui, et après quelques semaines d’absence, un nouvel article dédié à la réalisation d’une bibliothèque encastrée.
On s’écarte un peu du travail du bois au sens propre puisque j’ai utilisé, ici, des techniques qui touchent plus au domaine du bricolage en général comme la découpe multi-matériaux, le collage, l’enduisage, l’électricité, la peinture, etc. Mais, je vous rassure, il y a quand même du bois (ouf !) et cela devrait plaire à ceux qui rénovent car on parle aussi, ici, d’aménagement et d’optimisation de l’espace disponible.
Destinée à la chambre de ma fille, cette petite bibliothèque présente deux particularités : la première est qu’elle se trouvera sous les combles et la seconde, plus originale,…. et bien vous la découvrirez en lisant l’article ! 🙂
A la base, je ne comptais pas faire un reportage sur cette réalisation; je n’avais donc pas fait de photo du chantier avant mais j’ai, par bonheur, retrouvé sur mon smartphone une photo d’il y a quelques mois pour vous montrer de quoi je partais.
Cette photo la voici :
L’idée était donc de réaliser une bibliothèque derrière le lit (dans la sous pente) avec, également, la contrainte de hauteur inhérente au mobilier présent…
Sachant que j’avais réalisé moi-même, il y a quelques années, la cloison, je savais qu’il restait une profondeur de +/- 30-40 cm à disposition pour… un jour…. faire une étagère encastrée (ou une bibliothèque), en fonction de l’aménagement final de la pièce.
Bref, J’ai donc sorti un de mes outils préférés (le Fein Multimaster) et je me suis lancé dans la découpe de la cloison en plaques de plâtre.
Sur la photo ci-dessus, vous pouvez constatez qu’il y a du plâtre, du métal (profilé en U) et de laine de roche. Tout cela se coupe sans problème avec un outil multifonction et, surtout, une bonne lame. Pour info, j’ai utilisé une lame multi-matériaux Bosch de la (nouvelle) gamme Starlock.
En creusant d’abord un trou en plein milieu (pour observer, à travers celui-ci, la place disponible), j’ai pu “ouvrir” au maximum. Sachant que, sur la droite, il y a une cheminée en briques juste derrière la cloison, zone inexploitable, donc.
Lors de ce chantier, J’ai pu également inaugurer un nouvel aspirateur “de compétition” : le Bosch GAS 35 M AFC. Et bien, comme dirait l’autre : ça suce ! 😀
Ci-dessous une vue générale de l’avancement du chantier à ce stade
C’est à ce moment que je me suis dit “c’est quand même dommage de perdre cet espace vide derrière le lit… et si je fabriquais une sorte de caisson encastré dans la cloison ?“.
J’ai donc continué mes découpes (j’avoue que ça fonctionne tellement bien ce Multimaster, pour en arriver là après quelques minutes :
L’idée qui m’est venue était donc de fabriquer un caisson, de l’intégrer dans la cloison pour ensuite y poser une première tablette qui servirait de fermeture. Une sorte de rangement secret, donc !
Avant d’aller chercher les matériaux nécessaires à sa fabrication, j’ai modélisé le caisson à l’aide du (très pratique) logiciel Sketchup, ce qui a donné ceci :
J’ai donc pu facilement établir ce qu’on appelle une “feuille de débit”. Il s’agit, tout simplement, d’un résumé des planches nécessaires, avec les dimensions précises. Pour, ensuite, me rendre dans une grande surface bricolage (GSB) et en profiter pour gagner un peu de temps en les faisant découper sur place.
J’ai choisi d’utiliser du mélaminé car ça donne tout de suite une finition “propre”, sans devoir peindre, même si la découpe en GSB n’est pas parfaite…. loin de là !
Pour assembler les planches, j’ai choisi d’utiliser ma fraiseuse Festool Domino.
Il faut quand même avouer que c’est une machine fantastique… et tellement pratique !
Finalement, ce qui prend le plus de temps en utilisant une Domino, c’est le séchage de l’assemblage ! A ce propos, et pour ce genre de réalisation, il est intéressant d’avoir quelques grands serre-joints…
Vous aviez encore un doute sur la qualité d’un assemblage réalisé avec une Domino ? 🙂
Le fameux caisson terminé :
Présentation devant la niche… ça rentre pile-poil, c’est vraiment du sur mesure !
Pour l’intégrer correctement, il me fallait fabriquer un socle, ce que j’ai fait à partir de simples tasseaux qu’il me restait dans l’atelier…
J’ai utilisé ma scie radiale Bosch GCM 12 GDL (présentée dans cet article).
J’adore cette machine, tellement confortable et précise, aussi, avec son double laser.
Pour ensuite assembler directement les tasseaux, à l’aide de ma visseuse à chocs Bosch GDR 10,8-2 Li.
Le socle mis en place :
Pour les plus curieux d’entre-vous, j’ai utilisé des petites cales en bois de différentes épaisseurs, empilées et collées, afin de mettre le socle parfaitement à niveau.
Et voilà le travail !
Comme il s’agit de déposer une tablette “coulissante” sur le dessus de ce caisson, j’ai décidé de fabriquer un cadre afin d’augmenter un peu la surface de portée pour cette tablette.
Pour cela, j’ai utilisé ma scie sur table Bosch GTS 10 XC (présentée dans cet article) et, surtout, un poussoir de sécurité GRR-RIPPER (présenté dans cet article).
J’en ai, d’ailleurs, profité pour enregistrer une petite séquence vidéo que voici :
Les mises à longueur des lattes ont été réalisées avec ma scie radiale Bosch GCM 12 GDL.
Et comme ma Festool Domino était de sortie, j’en ai profité pour l’utiliser à nouveau.
Le résultat :
Etant donné que j’avais coupé dans le Gyproc (ou Placo, pour nos amis français), il a fallu recréer une structure pour maintenir les plaques de plâtres restantes autour de la bibliothèque.
J’ai, pour cela, également inséré des tasseaux de bois sur le pourtour, que j’ai ensuite vissés avec ma visseuse Bosch GSR 10,8 2 Li. Pour ceux qui cherchent une petite visseuse légère et maniable, je vous la recommande d’ailleurs fortement.
Avant de fabriquer les tablettes, j’ai sorti mon laser Bosch GLL 3-80 P (présenté dans cet article) afin de déterminer leur position exacte.
J’ai, ensuite, représenté l’épaisseur des tablettes sur les surfaces verticales à l’aide de mon crayon Pica Dry (présenté dans cet article). Très pratique, tant qu’on parle de lui, la possibilité de changer de mine pour une d’une autre couleur (ici jaune)…
Au tour de la découpe des tablettes maintenant.
Toujours avec ma scie sur table Bosch GTS 10 XC et un poussoir de sécurité mais le modèle GRR-RIP BLOCK, cette fois-ci.
Mise à longueur… la scie Bosch GCM 12 GDL permet une coupe jusqu’à 34cm, juste ce qu’il me faut !
Pour fixer les tablettes du côté gauche (c’est à dire dans la sous pente), j’ai fait une découpe dans la plaque de plâtre (avec le Fein Multimaster) en suivant simplement la ligne du laser.
Petite parenthèse : autant je peux avoir en tête une idée relativement précise de ce que je veux faire, autant j’ai besoin, en cours de réalisation, de faire des mises en situation pour avancer.
Pour les tablettes, je n’ai pas utilisé de “simples” planches de MDF en 18mm (trop minces à mon gout pour ce genre de projet), j’ai décidé de coller deux épaisseurs les unes sur les autres pour obtenir, au final, une épaisseur de 36mm.
Une fois collées, elles ont été mises sous presse.
Note : lors du collage, je vous conseille de bien étaler la colle et, surtout, de la laisser dépasser du côté visible (vous enlèverez l’excédent après). Le but étant de ne laisser aucun vide à la jonction entre les deux planches.
Elle n’est pas belle cette forêt de serre-joint Bessey Uniklamp ? 🙂
Pendant le séchage, j’en ai profité pour coller des fins tasseaux de bois qui serviront à supporter les tablettes.
De nouveau, le fait d’avoir utilisé un laser (et dessiné sur le mur) permet de savoir exactement où placer les supports.
Les tasseaux en place :
Pour le côté gauche des tablettes, j’ai décidé de les (re)couper à l’angle de la sous pente.
Oui, c’est mon côté maniaque… 🙂
Après avoir mesuré l’angle, je l’ai reporté (précisément) sur ma scie radiale avec l’aide d’un petit accessoire dont je vous ai déjà parlé : un “Level Box“.
Coupe impeccable, grâce à la scie Bosch GCM 12 GDL :
Ce qui donne :
Il faut, maintenant, rendre le chant de la tablette plus propre avant de le mettre en peinture. Pour cela, j’utilise ma ponceuse Festool ETS125 (présentée dans cet article). C’est une machine légère et pas trop agressive. Juste ce qu’il faut.
Réalisation d’un petit chanfrein, cette fois avec mon affleureuse Maktec MT372 (présentée dans cet article).
Ce genre de finition pour les bords, c’est vraiment ce qui donne une touche “professionnelle” à toute réalisation en bois.
La mise en peinture peut commencer, avec un primer d’accrochage (surtout sur du MDF !).
Pendant le séchage, et pour optimiser le temps, j’ai collé (encore !) les morceaux de Gyproc que j’avais découpés. Qui a dit récupération ? 😉
Que demander de plus ?
Mais revenons aux tablettes sur lesquelles j’ai passé un léger coup de ponçage (on dit aussi “égrenage”) entre chaque couche…
Ainsi qu’un petit peu de papier de verre sur le chanfrein, pour ne pas risquer de trop l’arrondir avec la machine.
Un bourrelet de colle sur les tasseaux :
Et on pose les tablettes. C’est parfait, comme je voulais.
Les tablettes ont également été collées aux plaques de plâtre de la sous pente.
Pour les fonds, étant donné que j’avais à gérer l’épaisseur des tasseaux/supports, j’ai décidé de réaliser un entourage avec les mêmes (fins) tasseaux de bois, collés eux-aussi.
Après découpe des plaques, je les place en situation.
Très pratique également, le Fein Multimaster, pour les découpes de ce genre :
Et après quelques minutes, tout est couvert, sans aucune vis.
Je ne l’ai pas précisé mais il y avait une arrivée électrique qui était en attente dans le haut de la cloison.
Je l’ai (ré)utilisée pour placer une double prise sur la gauche de l’étagère. Toujours utile pour brancher un réveil radio ou pour recharger une tablette…
Pour les puristes, j’ai bien veillé à placer des bandes renforcées pour les arrêtes.. 😉
Mais il est temps, maintenant, de fabriquer la tablette du bas. Vous savez, celle qui reposera sur le caisson. 😉
Pour celle-ci, et pour apporter une touche un peu esthétique, j’ai décidé de la faire un peu plus profonde de manière à ce qu’elle déborde du mur.
Il fallait donc également prévoir un rebord de part et d’autre.
Découpe à la scie radiale.
Et finition de la coupe (à cause de l’arrondi du disque) à l’aide d’une scie sauteuse (ici, ma fidèle Festool Trion PS 300).
Ce qui donne comme résultat :
Ca avance, non ?
Par contre, vous vous en doutez, je n’allais pas laisser la première tablette avec cette épaisseur (même si, techniquement, ça suffirait).
J’ai donc collé une petite languette de 2 cm.
Pour donner une impression de tablette “massive”, comme les autres. L’avantage de mon rebord, c’est qu’il permet aussi de cacher le raccord entre la tablette et le mur… 😉
Avec, bien entendu, un petit chanfrein.
Sans oublier la mise en peinture ! 🙂
Le résultat me plait…
Les plus observateurs auront remarqué qu’il manque une finition sur le côté gauche. J’attendais, en fait, de réaliser la tablette pour savoir exactement où placer le morceau manquant.
L’avantage d’utiliser des plaques de plâtre et de la colle, c’est que ça va très vite et on peut déjà remplir les cavités laissées par l’assemblage.
Pour l’enduisage, et particulièrement la dernière couche, j’ai une petite technique à vous conseiller. Fermez les stores et utiliser une lampe en lumière rasante. De cette manière, vous verrez aisément ou poncer et/ou remettre de la matière. Résultat garanti ! 🙂
Petit clin d’oeil à mon ami Laurent (de la page Facebook LJVS) : je vous conseille aussi de passer un chiffon humide sur vos plaques de plâtres poncées avant d’y appliquer les couches de peintures. Ceci pour un travail plus propre et, surtout, une bien meilleure tenue de la peinture !
Ici aussi, c’est important d’utiliser des bons produits. Evitez les peintures premiers prix qui nécessiteront de nombreuses couches pour arriver à un résultat plus ou moins correct…
Première couche de primer terminée, ça sent la fin !
Remarquez l’intégration du caisson… 🙂
Et après 2 autres couches de peinture, le travail est fini :
La première tablette est donc simplement déposée, il suffit de la faire coulisser pour avoir accès au caisson.
On remet maintenant le lit en place…
… et on dispose quelques accessoires sur les étagères (mais juste pour la photo, ma fille se chargera du reste). 🙂
Alors, qu’en dites-vous ?
J’aime particulièrement le côté “flottant” des étagères, parfaitement intégrées, sans support apparent. Et je peux vous dire qu’elles sont solides…
On pourrait d’ailleurs, aussi, très bien utiliser cette technique pour fabriquer un placard.
Petit défaut du caisson : il faut retirer ce qu’il y a dessus pour y avoir accès. Mais le but était, vous l’avez compris, de ne pas perdre cet espace qui servira à stocker des couvertures, etc. dont on a besoin 1 ou 2 fois par an.
Petites précisions avant de clôturer cet article :
- J’aurais pu utiliser du MDF (medium) plus épais au lieu de coller 2 épaisseurs mais je n’en avais pas sous la main et je n’avais pas envie d’aller en acheter juste pour cette réalisation.
- J’aurais pu utiliser un système de coulisse pour l’ouverture du caisson mais, dans ce cas, il aurait fallu faire des contorsions pour accéder au fond du rangement. Dans le cas présent, on retire la tablette, on la dépose à côté du lit et on accède facilement au caisson.
J’espère que cette réalisation vous a plus, même si on ne parle pas que de bois. De mon côté, et comme d’habitude, j’ai pris beaucoup de plaisir à la penser, à la faire et, surtout, à utiliser mes outils.
En espérant que ça puisse servir à l’un ou l’autre d’entre-vous… 🙂
A bientôt, pour d’autres réalisations, sur TravaillerLeBois.com !
Je dis bravo, c’est nickel.
Par contre, sans vouloir minimiser la qualité de ton travail, tu as quand même du super matos, je t’envie un peu 🙂
Et aussi pour le caisson en mélaminé, tu dis que la finition est de suite bonne mais il est invisible ce caisson. 5 planches de medium vissées collées auraient fait l’affaire, non?
Enfin, c’est quand même nickel 😉
Pour le matos, j’utilise ce que j’ai mais on peut bien entendu utiliser d’autres modèles/marques/outils.
Je préfère le mélaminé (dans ce cas-ci) car c’est propre et résistant aux taches, contrairement à du medium..
Pour moi, le medium doit obligatoirement être peint, ça ne peut pas rester tel quel.
Merci pour ta visite ! 😉
Ok pour le mélaminé, c’est vrai que la poussière a tendance à s’incruster sur le médium non préparé…
On est d’accord qu’on peut faire autrement avec des outils différents. Néanmoins, obtenir de tels ajustements et des coupes parfaites est quasi impossible avec une scie sauteuse B&D et des assemblages par vis… Je voulais juste légèrement souligner la qualité de ton matos et l’aide intrinsèque que ça apporte pour obtenir des résultats parfaits. J’ai moi aussi certains outils en gamme pro (défonceuse visseuses) et effectivement c’est le jour et la nuit. J’avoue que la domino me fait de l’œil également mais il me faudrait aussi une scie sur table…
Enfin c’est du super boulot et ça fait rêver
On est d’accord que l’outillage de qualité amène du confort et de la précision, c’est indéniable.
Mais je maintiens que ce projet aurait très bien pu être réalisé avec une scie plongeante (sur rail), un gabarit de perçage (Wolfcraft, Kreg,…) et une petite ponceuse.
Après tout ça, l’important, pour moi, est de partager et d’échanger. Alors si, en plus, je peux faire rêver avec des beaux outils, c’est tant mieux ! 😉
Bravo,
Super boulot et quelle patience pour toutes les petites retouches! 😉
Merci Mélanie ! 🙂
Super boulot! Un plaisir de voir de telles réalisations.
Merci beaucoup ! 🙂
Salut content de voir un nouveau projet en detail.
Super boulot et quelle bonne idée se caison de rangement.
A+
Salut Sébastien, merci pour ta visite et ton commentaire sympathique ! 🙂
Bonjour Alex,
Etant en cour de réalisation d’un projet similaire, je suis curieux de savoir quel peinture
tu as utilisé pour le MDF?
Entre les différents choix possible, que ce soit en GSB et en pro, je suis un peu perdu.
Et as-tu appliqué une protection sur les tablettes? Type verni, huile, …. etc?
Le rendu a l’air vraiment propre… Du coup ça m’intéresse.
Merci d’avance
Salut Valentin,
J’ai mis, partout, une couche de fond comme celle-ci :
Puis une peinture acrylique blanche extra mate sur les surfaces verticales :
Et, sur les tablettes, une laque acrylique satinée résistante aux griffes :
J’ai essayé de prendre des produits de qualité (même si vendus en GSB) notamment pour avoir une meilleure résistance à l’usure, aux UV’s, etc.
En tous cas, le résultat final est plus que propre !
Pense à passer un petit coup de ponceuse entre les couches, surtout après le primer, au grain P180.
Merci pour ta visite,
Alex
Bonjour,
Je trouve les étagères superbes.
Par contre mon côté écolo ressort quand je vois que tu as découpé une paroie isolée et que n’a rien remis sur la brique.
A méditer
Guillaume
Salut Guillaume,
Effectivement, je n’y ai même pas pensé.
Pour me “défendre”, je dirais qu’il y a d’autres endroits dans la maison et que, donc… 😉
Merci pour ta visite et ton commentaire.
Alex
Excellente travail , uns avoir faire et une ingéniosité .
Merci François ! 🙂
Super travail
Concernant les tasseaux que vous avez coller directement sur la brique, est-ce que c’est suffisant pour supporter plusieurs kilo ? dans l’idée d’utilisé cette technique pour un placard intégré pour éviter de percer dans les murs en béton
quelle colle avez vous utilisé ?
Merci
Salut Sébastien,
Aucun problème pour supporter du poids avec cette technique, surtout que la portée est répartie.
J’ai utilisé un mastic colle polymère Pattex (tu en trouves en GSB).
Il faut juste s’assurer que le support est propre au moment du collage, et suffisamment résistant…
Merci pour ta visite et ton message,
Alex
Super, merci
je vais bien lire le reste du site, je suis sûr que je vais trouver d’autres techniques/outils à utiliser pour mon projet
Super boulot,bravo.
Merci Louis !
Excellente travail ,Bravo.
Merci Yanick !
bonjour
j ai regarder seulement 2 tuto de vos travaux, et j’ai deja apris des choses, sur le travail et le choix des outils
super, bon travail
Merci (encore) ! 😉
Bonjour et surtout BRAVO Alexandre !
C’est une superbe réalisation, propre et bien finie. Elle respire l’ingéniosité, l’amour du travail soigné. Je prends beaucoup de plaisir à consulter ton site que j’ai découvert depuis une dizaine de jours (mes commandes Amazon s’en ressentent d’ailleurs…;-) car tu sais aussi transmettre ton amour des beaux outils et des produits de qualité).
Excellente continuation et au plaisir de lire encore tes articles passionnants !
Michel
Bonjour Alexandre,
Juste une question. comment as-tu traiter les chants du MDF? avec de l’enduit spécial bois?
Je suis très curieux 😉
Bonjour Hephgé,
J’ai d’abord étalé un peu la colle que j’ai utilisée pour coller les deux planches les unes sur les autres.
Ensuite un bon primaire bois (2 couches), puis plusieurs couches de peinture. 😉
Merci pour ta visite,
Alex
Bonjour
Merci ! Enfin je trouve un tuto sur ce que je souhaite faire dans la chambre de ma fille ^^ même si ce n’est pas une bibliothèque mais un placard que je souhaite faire !
Cependant je me pose une question il me semble que j’ai une espèce d’aération sur ma façade qui a l’air de l’extérieur de se situer pile là où je souhaite faire mes placards.
je dois laisser une profondeur mini? ou je fais comme si ça n’existait pas?
Merci
Amandine apprentie bricolo
Bonjour Amandine,
Difficile de donner en avis sans voir mais, à priori, je laisserais quand même une petite aération (5 cm).
Merci pour ton message et bon travail ! 😉
Alex
Beau travail ,je découvre juste ce site et je suis en admiration !
Je suis en projet pour faire un placard sous pente mais avec des portes ” à ma façon ” et une tablette sur le dessus , j’hésite sur l’épaisseur des tasseaux pour la tablette du dessus et pour les étagères internes
Un petit conseil ? Merci